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La machine à coudre

La machine à coudre est une invention qui a révolutionné le domaine de la confection en rendant le travail plus rapide et les vêtements moins chers.

L’invention de la machine à coudre

La première machine à coudre fonctionnelle a été inventée par le tailleur français Barthélemy Thimonnier (1793 – 1857).  Brevet déposé en 1830.
Cette machine était construite en bois et composé d’une table sur laquelle une roue à volant entraînait une bielle.  Appelé « mécanique à coudre » cette machine à un fil continu, en point de chaînette, faisait 200 points à la minute.
Elle ne comportait pas de mouvement d’entraînement du tissu lequel devait être fait avec les deux mains.
Barthélemy Thimonnier en fabriqua 80 exemplaires pour honorer une commande d’uniformes de l’armée.  Puis il continua à améliorer son invention et déposa plusieurs brevets successifs en 1841, 1845 et 1847 pour des nouveaux modèles.

machine à coudre
machine à coudre

C’est en 1834 que l’américain Walter Hunt utilise une canette, donc une machine à deux fils.  Cette idée est reprise et améliorée par Elias Howe qui dépose, en 1846, un brevet, sans grand succès.  En 1851, l’idée est perfectionnée par Isaac Merrit Singer (prononcé : saingère) grâce à une machine qu’il doit réparer.  Ce qui lui permet de déposé à son tour un brevet le 12 août 1851 et de créer la I.M. Singer & Co .  La production de machine à coudre à usage domestique, lui rapporte le succès et se poursuivie à grande échelle.

la machine à coudre
l’invention de la machine à coudre

En France, la machine à coudre à pédale (qu’on utilisait à deux pieds) a été brevetée le 12 mai 1868 par Pierre Cadet.  Brevet qui fut vendu à la famille Peugeot.  En 1878, Benjamin Peugeot reçut la Légion d’honneur pour avoir construit cette machine à coudre.
En 1871 l’allemand Kayser imagine un dispositif qui permet de déplacer l’aiguille de droite à gauche, afin d’obtenir une couture en zig-zag. Comme à cette époque, l’électricité était produite par des piles encombrantes, En Alsace Caroline Garcin, imagine un moteur à ressort.  En 1873, Ward invente l’ancêtre de la machine à bras libre utilisée par la marque suisse Elna pour coudre manches et jambes de pantalon.  En 1937, Pfaff ajoute à cette machine un moteur.

Les modèles électriques firent donc leur apparition au cours du XXème siècle, commercialisées depuis Genève à partir de 1940.  Le modèle s’appelait, Elna 1.

De nos jours, non seulement les machines à coudre sont électriques mais elles sont aussi électroniques.  Elles sont dotées de mémoires permettant de coudre des motifs complexes ou de broder quasiment seules.

La première machine à coudre électronique programmable fus lancée en 1979 par la marque japonaise Janome.  En 1992, Janome produisit également les premières machines à broder multi-couleurs équipées d’un cercle à broder.  Aujourd’hui, il est le premier fabricant mondial de machines à coudre électroniques.  Il existe aussi plusieurs autres marquent comme, Pfaff et Husqvarna Viking, du groupe SVP Worldwide, dont fait aussi partie Singer depuis 2006.

machine à coudre
machine à coudre

Et vous?  Quel est la marque de votre machine à coudre?

 

Investir dans la qualité pour un gage de durabilité

Au salon, le canapé trône en roi. Pour prolonger la vie de cet achat d’importance et conserver son aspect d’origine le plus longtemps possible, il faut suivre quelques règles d’entretien.

crédit photo

Je l’ai souvent dit, les rideaux ne sert pas juste à faire beau, ça sert à protéger nos investissements de la lumière du soleil.  Le nouveau plancher de bois franc, le tapis brun chocolat ou le canapé vert émeraude.  Le soleil est un détachant miracle, mais il est aussi un décolorant destructeur.  Celui-ci peut facilement endommager un sofa rouge ou bleu, couleurs qui perdent vite leur éclat.  Il est donc très important d’être aux petits soins si vous voulez que votre canapé reste le maître du salon.

Les habillages de fenêtres ont leur rôle à jouer pour protéger cet achat important.  Mais comme il n’y a pas que les rideaux voici mes conseils :

canapé de cuir
canapé de cuir

Pour le cuir

Tout d’abord, le canapé de cuir a une longévité trois fois supérieur à un canapé de tissu.  Tout dépend bien sûr des usagers, de l’usage et la qualité de rembourrage.  Pour une famille de quatre, on parle en moyenne d’une durée de vie de 15 à 20 ans.  Pour l’entretien du cuir, je suggère d’acheter une crème hydratante.  J’ai un parti prix pour le produit « Urad » de la compagnie du même nom.  On l’applique avec une éponge en une seule couche qui nettoie, hydrate, protège et fait briller.  En cas de dégâts, pas d’eau ni de savon.  Avec un linge sec, on essuie tout de suite et on applique la crème.  La plupart des canapés de cuir de qualité sont résistants.  Les compagnies les couvrent d’une couche de protection de base.

urad en pot couleurs
Urad

Par contre les canapés de cuir plus bas de gamme, ont une durabilité vraiment moins bonne et se rapproche davantage de celle des canapés en tissu, soit de cinq à sept ans.  Ici je fais référence à un enduit de polyuréthane appliqué sur la croûte de cuir, le côté viande de la peau, moins noble, car moins doux, mais beaucoup moins coûteux.  C’est ce qui donne l’aspect cuir.

Je fais une parenthèse pour parler des tissus 100% polyuréthane.  Ce que nous appelons du faux cuir ou de la cuirette.  L’enduit appliqué sur une toute autre base, comme du coton par exemple.  Ce tissu, même si ce n’en est pas un en réalité, réussi, à première vue, à bien imiter le cuir.  Par conséquent, il ne dure pas plus de trois à cinq ans.  Le problème avec ce tissu, il sèche, il craque et a tendance à peler.  Sans parler que la couleur ne tient pas bien.  La solution qu’offre plusieurs fabricants : mettre du cuir sur les assises et les dossiers, mais du faux cuir à l’arrière.  Ça diminue le prix tout en offrant une durabilité plus longue.  Attention à positionner votre canapé le long d’un mur et non dos à une fenêtre!

canapé de tissu
canapé de tissu

Pour les tissus

Du côté des canapés de tissus, il est très important de les protéger de la lumière directe du soleil.  Le rouge et le bleu sont particulièrement fragiles.  Toutes les couleurs foncées sur fibres naturelles risquent de changer dans les six premiers mois à un an!  Si votre salon est très ensoleillé, mieux vaut opter pour un canapé de couleur pâle, fabriqué d’un tissu contenant du nylon et ou du polyester.  Plus un tissu contient un pourcentage élevé dans l’une autre l’autre de ces matières, plus il est facile d’entretien.  Contrairement à un tissu en fibres naturelles comme le lin et le coton.

Il n’y a plus vraiment d’application de produits de protection hydrofuge pour les tissus, produits très toxique et polluants.  Par contre, les tissus sont prétestés, souvent ignifugés, donc plus performants, plus résistants aux taches et à l’effilochage.  Et avec toutes les nouvelles fibres, c’est somme toute assez résistant!  Bien sûr les magasins ont des plans de protection à lire avec beaucoup d’attention, mais souvent très avantageux.

Si toutes fois, une tache persiste, je conseille de ne pas mettre de produits ménagers qui pourraient altérer d’avantage le tissu.  Je recommande plutôt de faire affaire avec une compagnie spécialisée dans le nettoyage de meubles.

Mes derniers conseils : pour prolonger la durée de vie de votre canapé, penser à aspirer toute les poussières dans les craques et pour répartir l’usure au fil du temps, inter-changer les assises, les dossiers et les coussins, si bien sûr ils sont détachables.  Sinon, changez de place!

canapé de cuir
canapé de cuir

Comment choisir sa couturière

Tout d’abord vous devez savoir que la fabrication de rideaux ne s’apprend pas à l’école.  Il n’existe pas de cours pour apprendre à calculer, tailler, assembler et vendre des rideaux.  Alors comment bien choisir la couturière qui confectionnera pour vous de beaux habillages de fenêtres ou de lit?  Comment savoir si la couturière ne s’est pas tout simplement improvisée, ou le fait pour dépanner?

Comment choisir sa couturière

Première des choses, ses installations.  Dès la première visite vous pouvez facilement voir si la couturière, ou l’atelier, est munie d’une table assez longue pour une mesure de rideaux standard, soit quatre-vingt-seize pouces ou 2.5 mètres.  Il devrait aussi y avoir au minimum trois machines industrielles.  Toutes différentes.  Bon, ce n’est pas important que vous soyez un fin connaisseur en matière de machines puisque la différence est assez facile à voir.  Mise à part qu’elles soient placées sur la même grosseur de table, leurs formes sont distinctes.

Deuxièmes des choses, les connaissances.  Pour cette partie, il suffit de proposer un projet.  Si la couturière acquiesce à vos demandes sans rien dire, sans poser de question sur le tissu ou l’installation, par exemple, il se peut que le projet n’arrive pas à bon port.  Si au contraire, elle veut tout savoir et qu’elle vous fait même des propositions en vous montrant des échantillons, elle saura aussi vous donnez l’heure juste sur votre projet.

Troisième chose, ses délais.  Un délai normal pour la confection de rideaux est de trois semaines, quatre dans les périodes plus occupées comme la fin du printemps et la fin de l’automne.

En étant clients de magasins à grandes surfaces qui offrent le service de couture, il vous sera impossible de voir ou parler directement à la couturière.  Soyez avisé que lorsque vous utilisez ce service, il y a un à deux intermédiaires entre vous et la couturière.  Il y a donc plus de chances que le produit fini soit légèrement différent de la commande initiale.  Ne blâmez pas la couturière, ça ne veut pas dire que c’est ça faute, c’est juste comme le jeu du téléphone.  Rendu à la fin, le message du début c’est transformé.
Plusieurs couturières travaillent dans l’anonymat derrière de grandes bannières très connues.  Difficile de voir avant leur travail, mais je vous rassure, la plupart sont de confiance.  Je vous suggère plutôt une couturière qui peut vous montrer ses réalisations via un site internet ou mieux encore des démonstrateurs.

Dernière chose, le prix.  Juste sur le prix, je pourrais vous écrire un article au complet.  Comme dans plusieurs choses, le prix n’est pas toujours gage d’un produit haut de gamme.  Par contre dans le cas qui nous occupe, ça donne un bon indice.  N’oubliez pas que tout le profit ne va pas à la couturière.  Un habillage de fenêtre complet, comprends beaucoup de fournitures qui sont de plus en plus cher à cause du prix du carburant qui ne cesse d’augmenter.  N’oubliez pas aussi les intermédiaires et les frais fixes.  Un local au centre-ville coûte beaucoup plus cher qu’un sous-sol de maison privée. Plus il en reste pour la couturière, plus vous aurez la chance d’avoir un meilleur service.

Justement, un bon service ne serait pas complet sans les déplacements.  Une couturière qui se déplace pour prendre les mesures, assure un produit plus facile à garantir.  Certaines se déplacent aussi pour l’installation, cela leur permet de placer les rideaux à leur convenance.  Les autres optent pour des installateurs professionnels.  La plupart d’entre eux ont une très bonne compréhension de la faisabilité des rideaux et cela permet à la couturière de se concentrer sur le contrôle de la qualité de la confection.

Le plus important

En résumé, c’est la relation que vous aurez avec votre couturière qui assurera la collaboration.  Puisque c’est un métier sous-estimé et que les achats par internet sont populaires, il se peut que vous ayez de la difficulté à trouver une couturière près de chez vous avec toutes les bonnes caractéristiques.

Pour conclure j’aimerais quand même vous dire que la couture regagne en popularité depuis quelques années, avec les médias sociaux et les salons d’artisanats, plusieurs se découvrent une nouvelle passion.  Alors j’espère bien qu’il y en aura d’autre qui choisiront la confection d’habillages de fenêtres.

Maryse Larochelle
Maryse Larochelle

 

 

La bonne finition pour toute la différence

La bonne finition

Les termes de couture n’intéressent personne.  Pourtant, quand c’est le temps d’habiller les fenêtres, on me demande souvent comment je vais faire.  Comme la finition fait la différence entre ce qui est vendu en magasin, le moyen de gamme et le haut de gamme, parlons-en.

Prenons la finition de base : la piqûre ou couture piquée.  C’est la finition vite faite.  Celle que l’on utilise pour fabriquer des rideaux à la chaîne.  C’est une finition qu’on utilise que très rarement dans le sur-mesure, parce que ça tire et ça ne s’étire pas.  Alors plus souvent qu’autrement ça tombe mal.

La finition invisible : ça le dit, c’est invisible ou presque.  Fait avec une machine spéciale qui fonctionne à un fil seulement, avec une aiguille courbée qui bouge de gauche à droite.  C’est la finition la plus utilisé dans le moyen et haut de gamme. Habituellement pour finir les bords et les côtés, cette couture laisse un petit point sur l’endroit du tissu.

La finition au surjet : la couture d’assemblage.  Fait avec une surjeteuse à cinq fils, dont deux aiguilles, cette machine fait peur à plusieurs.  En même temps de coudre au point de chaîne, elle fait une finition pour empêcher l’effilochage et elle coupe! C’est génial comme machine!  On peut enlever la lisière qui est poilu et disgracieuse en même temps qu’assembler les morceaux.

La finition à la main : la couture toujours parfaite!  Je vous le dis, même le haut de gamme n’est pas fait uniquement à la main. Ça ne serait pas assez solide et surtout ce serait très long.  Par contre c’est très utile avec les tissus qui donne du fils à retorde!  Comme par exemple le velours à poils longs ou les suèdes.  Je me sers du point à la main pour la touche finale et éviter les coutures trop apparentes.

Les finitions avec une garniture : le fil de plomb, le biais, les rubans, la ruflette, la fermeture à glissière, le cordon passepoilé, etc.  Le choix d’une garniture dépend du tissu choisi, du style voulu et du budget disponible.  C’est beau, ce n’est pas beau? Tous les goûts sont dans la nature, mais le plus important c’est que la garniture soit bien posée.

La finition c’est aussi ce qui fait la signature de la couturière.  C’est par la finition que l’on détermine la gamme de confection.

Alors même si la couture n’est pas votre tasse de thé, que les termes vous semblent du chinois, les finitions sont importantes et de les connaître permet d’apprécier d’avantage les habillages de fenêtres à leur juste valeur.

Maintenant à vous de choisir ce qui est important pour vous, parce qu’habituellement les habillages de fenêtres et de lits, on aime bien les garder assez longtemps.

Des rideaux sur mesure

Le premier réflexe quand vient le temps d’acheter des rideaux, c’est d’aller dans un magasin à grande surface, de faire le tour de la section décoration pour la maison et d’acheter un ou deux paquets de rideaux à œillets et une tringle qu’on peut étirer à la longueur nécessaire pour couvrir la ou les fenêtres à habiller.

Arrivée à la maison, vous demandez à votre mari d’installer le tout. Après un refus, une petite discussion, un gros bisou, votre mari, avec son plus beau sourire, sort sa perceuse pour satisfaire votre envie de décoration. La première fois qu’on installe une tringle, l’erreur la plus fréquente est de percer des trous dans la moulure de la fenêtre. Parce que c’est là où il y a du solide et que cela évitera à votre mari de mettre des ancrages à cloison sèche. De plus, les rideaux sont souvent juste assez longs pour cette mesure. Après avoir enfin posé les supports de la tringle, votre mari étire celle-ci à la longueur voulue. Vous allez probablement remarquer le joint qui se trouvera au milieu. Une partie de la tringle sera plus petite que l’autre. Pour l’instant, ça ira. Puis vous déballez les fameux panneaux à œillets. C’est la partie excitante ! Vous allez bien vite vous rendre compte que vous devrez sortir le fer et la planche à repasser qui se trouvent probablement au fond d’une garde-robe.

Longue et interminable épreuve.

Enfin, les rideaux sont prêts ! Votre mari est parti, vous laissant seule avec l’escabeau. Vous montez, passez les œillets dans la tringle. Vous descendez de l’escabeau pour admirer votre travail. Malheureusement, vous aviez oublié qu’il y avait un ordre logique pour les enfiler. Vous remontez dans l’escabeau, retirez le panneau de la tringle, réfléchissez à cette logique, puis réinstallez les anneaux dans le bon ordre. Et vous refaites la même chose pour l’autre panneau. Une fois cette tâche accomplie, vous faites venir votre mari — qui pourra ranger l’escabeau —, mais celui-ci vous fait remarquer que les rideaux ne sont pas de la même hauteur. Très possible, puisque ces panneaux sont produits à la chaîne, sans vraiment être mesurés précisément.

Assise sur votre fauteuil, vous portez votre regard sur vos nouveaux rideaux, et vous remarquez que les côtés sont plus courts et ondulent de haut en bas. Mais ils sont installés, ce n’était pas cher et ça fait la job pour le moment. Arrive l’heure de se cacher des voisins… Vous vous dites probablement que ce n’est pas si facile à glisser sur la tringle. À cause du joint, très certainement. Vous faites une autre observation : le look est complètement différent une fois les rideaux étirés devant la fenêtre. Il n’y a presque plus d’ondulation et il y a un jeu de lumière au centre. Finalement, c’est comme mettre un drap.

Après plusieurs mois viendra le petit ennui de la tringle qui courbe vers le bas parce qu’elle est étirée au maximum. Et après le premier lavage, comble de malheur, les rideaux auront rétréci. Vous aurez peut-être alors l’idée de les apporter chez la couturière pour les faire allonger. Étant donné que ce sont des tissus qui ne sont pas coupés à l’équerre, la couturière aura beaucoup de difficulté à faire un travail adéquat.

À ce moment, vous aurez deux choix : retourner au magasin pour racheter un ensemble complet ou appeler Boutons, bobines & Cie ! Si vous choisissez de retourner au magasin, c’est, selon moi, un éternel recommencement. Par contre, si vous choisissez de faire appel aux services de mon atelier de confection de rideaux, je vous garantis que vous aurez un produit fini haut de gamme qui répond à vos besoins en matière de décoration.

Tout d’abord, nous choisirons un tissu qui s’harmonisera parfaitement avec le reste du décor. La tringle en un morceau est vraiment essentielle à une installation des plus fonctionnelles. Le choix du modèle est aussi très important et dépend de l’utilisation que vous allez en faire. Allez-vous ouvrir et fermer les rideaux deux ou trois fois par jour ? Ou seront-ils, au contraire, des rideaux statiques ? Les réponses à ces questions nous aideront à faire le bon choix de plis. Une confection sur mesure fera toute la différence quant à la finition du produit final. De plus, la fonctionnalité ne doit pas être une corvée !

Ensuite vient l’étape de l’installation. Faire installer vos rideaux sur mesure par un professionnel permet d’avoir la bonne quincaillerie et évite de devoir recommencer. Nos installateurs chevronnés se font un devoir de rendre votre projet conforme à vos attentes, tout en respectant votre domicile. Et réparer un trou dans une cloison sèche est plus facile et coûte moins cher que de réparer un trou dans une moulure de fenêtre.

En choisissant de faire faire vos rideaux sur mesure par Boutons bobines & Cie, vous achetez local et vous vous assurez d’avoir un produit fini de haute qualité qui convient à vos besoins. Et vous serez assurément satisfait du résultat, sans devoir recommencer l’année suivante !